Bon, voilà, après deux ans de retour à l’usine, je change à nouveau de job ! Ce n’est pas dû à de l’inconstance, de l’instabilité,
ou à ma légendaire « insoumission »… Emac est probablement la meilleure usine de Soule que j’ai pu fréquenter. Mon travail « d’opérateur en laboratoire » est sans doute l’un des plus
intéressants qu’il m’ait été donné d’effectuer (loin après « concepteur PAO » chez Asma, quand même).
Mais voilà : la routine a fini par s’installer, et m’a rattrapé sans que je m’en aperçoive… Au retour des congés, j’ai eu la révélation : je ne me voyais pas repasser une année identique à la
précédente, à faire les choses sans passion, juste pour manger (voir billets précédents)…
Donc j’ai recommencé à chercher mieux ailleurs, mais j’ai eu la chance de ne même pas à avoir à envoyer un seul CV ! Une opportunité inespérée s’est offerte à moi, et je l’ai saisie…
Tout s’est déroulé très vite. La semaine dernière, au même jour, je ne savais pas encore que je quitterai Emac !
Je commence dès lundi prochain dans ma nouvelle entreprise.
Ceux qui lisent les divers sites et blogs auxquels je contribue connaissent David
Castéra. Ce co-fondateur d’Euskobizia est aussi l’un
des deux patrons de Stonfield Inworld, une société
basée à Oloron Sainte-Marie, très versée dans l’exploitation des mondes virtuels. Et bien voilà, c’est lui, mon nouvel employeur !
Ma nouvelle profession porte le doux nom de « rédacteur de contenu web ». Je serai chargé de rédiger des articles sur les mondes virtuels pour divers blogs (celui de Stonfield Inworld,
bien sûr, mais aussi celui de la communauté « Territoire Digital »,
voire d’autres…). En gros, je vais être le « journaliste » attitré de Stonfield Inworld dans les mondes virtuels (David Castéra dixit)…
La seconde partie du boulot sera de rédiger des supports de communication (et des notices d’utilisation) à l’attention des clients de l’entreprise, utilisateurs de la plateforme blog en cours de
réalisation chez SI.
Bref, je vais retourner à mes premières amours (journalisme, écriture, web) avec un certain plaisir… Et croyez-moi, même si connais grosso modo l’étendue du boulot que j’aurais à accomplir, il me
tarde vraiment de m’y mettre !
Les quelques jours qu’il me reste à tirer à l’usine vont être… Longs comme un jour sans pain !